| Esdras 4.10et les autres peuples que le grand et illustre Osnappar a transportés  et établis   dans la ville de Samarie et autres lieux de ce côté du fleuve, etc.
 Esdras 4.11C’est ici la copie de la lettre qu’ils envoyèrent   au roi Artaxerxès : Tes serviteurs, les gens de ce côté du fleuve, etc.
 Esdras 4.12Que le roi sache    que les Juifs partis   de chez toi et arrivés  parmi nous à Jérusalem rebâtissent  la ville rebelle et méchante, en relèvent     les murs et en restaurent  les fondements.
 Esdras 4.14Or, comme  nous mangeons le sel   du palais et qu’il ne nous paraît pas convenable  de voir  mépriser le roi,   nous envoyons  au roi ces informations .
 Esdras 4.23Aussitôt   que la copie de la lettre du roi Artaxerxès eut été lue  devant Rehum, Schimschaï, le secrétaire, et leurs collègues, ils allèrent  en hâte à Jérusalem vers les Juifs,  et firent cesser  leurs travaux par violence et par force.
 Esdras 5.14Et même le roi Cyrus ôta   du temple de Babylone les ustensiles d’or et d’argent de la maison de Dieu, que Nebucadnetsar avait enlevés  du temple de Jérusalem et transportés  dans le temple de Babylone, il les fit remettre  au nommé Scheschbatsar, qu’il établit  gouverneur,
 Esdras 6.8Voici l’ordre que je donne  touchant ce que vous aurez à faire  à l’égard de ces anciens   des Juifs pour la construction  de cette maison de Dieu : les frais, pris sur les biens du roi provenant des tributs de l’autre côté du fleuve, Seront exactement payés    à ces hommes, afin qu’il n’y ait pas d’interruption .
 Esdras 7.14Tu es envoyé  par  le roi et ses sept conseillers  pour inspecter   Juda et Jérusalem d’après la loi de ton Dieu, laquelle est entre tes mains,
 Esdras 7.15et pour porter  l’argent et l’or que le roi et ses conseillers  ont généreusement offerts  au Dieu d’Israël, dont la demeure est à Jérusalem,
 Esdras 7.18Vous ferez  avec le reste de l’argent et de l’or ce  que vous jugerez bon  de faire , toi et tes frères, en vous conformant à la volonté de votre Dieu.
 Esdras 7.23Que tout ce qui est ordonné par le Dieu des cieux se fasse  ponctuellement pour la maison du Dieu des cieux, afin  que sa colère   ne soit pas sur le royaume, sur le roi et sur ses fils.
 Daniel 2.9Si donc vous ne me faites pas connaître  le songe, la même  sentence vous enveloppera tous ; vous voulez vous préparer  à me dire  des mensonges et des faussetés  , en attendant que les temps soient changés . C’est pourquoi dites -moi le songe, et je saurai  si vous êtes capables de m’en donner  l’explication.
 Daniel 2.10Les Chaldéens répondirent    au roi : Il n’est personne  sur la terre qui puisse  dire  ce que demande le roi ; aussi  jamais roi, quelque grand et puissant qu’il ait été, n’a exigé  une pareille chose d’aucun magicien, astrologue ou Chaldéen.
 Daniel 2.14Alors Daniel s’adressa  d’une manière prudente et sensée à Arjoc, chef des gardes du roi, qui était sorti  pour mettre à mort  les sages de Babylone.
 Daniel 2.43Tu as vu  le fer mêlé  avec l’argile , parce qu’ils se mêleront    par des alliances humaines ; mais ils ne seront  point unis  l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie  point avec l’argile.
 Daniel 2.47Le roi adressa la parole  à Daniel et dit  : En vérité,  votre Dieu est le Dieu des dieux et le Seigneur des rois, et il révèle  les secrets, puisque tu as pu  découvrir  ce secret.
 Daniel 3.7C’est pourquoi , au moment où tous les peuples entendirent  le son de la trompette, du chalumeau, de la guitare  , de la sambuque, du psaltérion, et de toutes sortes d’instruments de musique, tous les peuples, les nations, les hommes de toutes langues se prosternèrent  et adorèrent  la statue d’or qu’avait élevée  le roi Nebucadnetsar.
 Daniel 3.19Sur quoi Nebucadnetsar fut rempli  de fureur, et il changea  de visage en tournant ses regards contre schadrac, Méschac et Abed-Nego. Il reprit la parole  et ordonna  de chauffer  la fournaise sept fois plus qu’il ne convenait  de la chauffer .
 Daniel 7.22jusqu’au moment où l’ancien des jours vint   donner  droit aux saints du Très-Haut, et le temps arriva  où les saints furent en possession  du royaume.
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