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Reprenez votre lecture en cours : Genèse 20 (LSGS)

Bible en un an Jour

Vous pouvez suivre ici chaque jour un plan de lecture de la Bible sur un an, vous permettant d'enrichir votre méditation quotidienne.
Cliquez simplement sur les chapitres ci-dessous pour les lire chaque jour.

Prière du juste opprimé

1 Au chef des chantres. Sur les lis. De David. 2 Sauve-moi, ô Dieu ! Car les eaux menacent ma vie. 3 J’enfonce dans la boue, sans pouvoir me tenir ; Je suis tombé dans un gouffre, et les eaux m’inondent. 4 Je m’épuise à crier, mon gosier se dessèche, Mes yeux se consument, tandis que je regarde vers mon Dieu. 5 Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête, Ceux qui me haïssent sans cause ; Ils sont puissants, ceux qui veulent me perdre, Qui sont à tort mes ennemis. Ce que je n’ai pas dérobé, il faut que je le restitue. 6 Ô Dieu ! tu connais ma folie, Et mes fautes ne te sont point cachées. 7 Que ceux qui espèrent en toi ne soient pas confus à cause de moi, Seigneur, Éternel des armées ! Que ceux qui te cherchent ne soient pas dans la honte à cause de moi, Dieu d’Israël ! 8 Car c’est pour toi que je porte l’opprobre, Que la honte couvre mon visage ; 9 Je suis devenu un étranger pour mes frères, Un inconnu pour les fils de ma mère. 10 Car le zèle de ta maison me dévore, Et les outrages de ceux qui t’insultent tombent sur moi. 11 Je verse des larmes et je jeûne, Et c’est ce qui m’attire l’opprobre ; 12 Je prends un sac pour vêtement, Et je suis l’objet de leurs sarcasmes. 13 Ceux qui sont assis à la porte parlent de moi, Et les buveurs de liqueurs fortes me mettent en chansons. 14 Mais je t’adresse ma prière, ô Éternel ! Que ce soit le temps favorable, ô Dieu, par ta grande bonté ! Réponds-moi, en m’assurant ton secours ! 15 Retire-moi de la boue, et que je n’enfonce plus ! Que je sois délivré de mes ennemis et du gouffre ! 16 Que les flots ne m’inondent plus, Que l’abîme ne m’engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi ! 17 Exauce-moi, Éternel ! car ta bonté est immense. Dans tes grandes compassions, tourne vers moi les regards, 18 Et ne cache pas ta face à ton serviteur ! Puisque je suis dans la détresse, hâte-toi de m’exaucer ! 19 Approche-toi de mon âme, délivre-la ! Sauve-moi, à cause de mes ennemis ! 20 Tu connais mon opprobre, ma honte, mon ignominie ; Tous mes adversaires sont devant toi. 21 L’opprobre me brise le cœur, et je suis malade ; J’attends de la pitié, mais en vain, Des consolateurs, et je n’en trouve aucun. 22 Ils mettent du fiel dans ma nourriture, Et, pour apaiser ma soif, ils m’abreuvent de vinaigre. 23 Que leur table soit pour eux un piège, Et un filet au sein de leur sécurité ! 24 Que leurs yeux s’obscurcissent et ne voient plus, Et fais continuellement chanceler leurs reins ! 25 Répands sur eux ta colère, et que ton ardente fureur les atteigne ! 26 Que leur demeure soit dévastée, Qu’il n’y ait plus d’habitants dans leurs tentes ! 27 Car ils persécutent celui que tu frappes, Ils racontent les souffrances de ceux que tu blesses. 28 Ajoute des iniquités à leurs iniquités, Et qu’ils n’aient point part à ta miséricorde ! 29 Qu’ils soient effacés du livre de vie, Et qu’ils ne soient point inscrits avec les justes ! 30 Moi, je suis malheureux et souffrant : Ô Dieu, que ton secours me relève ! 31 Je célébrerai le nom de Dieu par des cantiques, Je l’exalterai par des louanges. 32 Cela est agréable à l’Éternel, plus qu’un taureau Avec des cornes et des sabots. 33 Les malheureux le voient et se réjouissent ; Vous qui cherchez Dieu, que votre cœur vive ! 34 Car l’Éternel écoute les pauvres, Et il ne méprise point ses captifs. 35 Que les cieux et la terre le célèbrent, Les mers et tout ce qui s’y meut ! 36 Car Dieu sauvera Sion, et bâtira les villes de Juda ; On s’y établira, et l’on en prendra possession ; 37 La postérité de ses serviteurs en fera son héritage, Et ceux qui aiment son nom y auront leur demeure.

Prière pour la délivrance

1 Au chef des chantres. De David. Pour souvenir. 2 Ô Dieu, hâte-toi de me délivrer ! Éternel, hâte-toi de me secourir ! 3 Qu’ils soient honteux et confus, ceux qui en veulent à ma vie ! Qu’ils reculent et rougissent, ceux qui désirent ma perte ! 4 Qu’ils retournent en arrière par l’effet de leur honte, Ceux qui disent : Ah ! ah ! 5 Que tous ceux qui te cherchent Soient dans l’allégresse et se réjouissent en toi ! Que ceux qui aiment ton salut Disent sans cesse : Exalté soit Dieu ! 6 Moi, je suis pauvre et indigent : Ô Dieu, hâte-toi en ma faveur ! Tu es mon aide et mon libérateur : Éternel, ne tarde pas !

Prière confiante d’un vieil homme persécuté

1 Éternel ! je cherche en toi mon refuge : Que jamais je ne sois confondu ! 2 Dans ta justice, sauve-moi et délivre-moi ! Incline vers moi ton oreille, et secours-moi ! 3 Sois pour moi un rocher qui me serve d’asile, Où je puisse toujours me retirer ! Tu as résolu de me sauver, Car tu es mon rocher et ma forteresse. 4 Mon Dieu, délivre-moi de la main du méchant, De la main de l’homme inique et violent ! 5 Car tu es mon espérance, Seigneur Éternel ! En toi je me confie dès ma jeunesse. 6 Dès le ventre de ma mère je m’appuie sur toi ; C’est toi qui m’as fait sortir du sein maternel ; Tu es sans cesse l’objet de mes louanges. 7 Je suis pour plusieurs comme un prodige, Et toi, tu es mon puissant refuge. 8 Que ma bouche soit remplie de tes louanges, Que chaque jour elle te glorifie ! 9 Ne me rejette pas au temps de la vieillesse ; Quand mes forces s’en vont, ne m’abandonne pas ! 10 Car mes ennemis parlent de moi, Et ceux qui guettent ma vie se consultent entre eux, 11 Disant : Dieu l’abandonne ; Poursuivez, saisissez-le ; il n’y a personne pour le délivrer. 12 Ô Dieu, ne t’éloigne pas de moi ! Mon Dieu, viens en hâte à mon secours ! 13 Qu’ils soient confus, exterminés, ceux qui en veulent à ma vie ! Qu’ils soient couverts de honte et d’opprobre, ceux qui cherchent ma perte ! 14 Et moi, j’espérerai toujours, Je te louerai de plus en plus. 15 Ma bouche publiera ta justice, ton salut, chaque jour, Car j’ignore quelles en sont les bornes. 16 Je dirai tes œuvres puissantes, Seigneur Éternel ! Je rappellerai ta justice, la tienne seule. 17 Ô Dieu ! tu m’as instruit dès ma jeunesse, Et jusqu’à présent j’annonce tes merveilles. 18 Ne m’abandonne pas, ô Dieu ! même dans la blanche vieillesse, Afin que j’annonce ta force à la génération présente, Ta puissance à la génération future ! 19 Ta justice, ô Dieu ! atteint jusqu’au ciel ; Tu as accompli de grandes choses : ô Dieu ! qui est semblable à toi ? 20 Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs ; Mais tu nous redonneras la vie, Tu nous feras remonter des abîmes de la terre. 21 Relève ma grandeur, Console-moi de nouveau ! 22 Et je te louerai au son du luth, je chanterai ta fidélité, mon Dieu, Je te célébrerai avec la harpe, Saint d’Israël ! 23 En te célébrant, j’aurai la joie sur les lèvres, La joie dans mon âme que tu as délivrée ; 24 Ma langue chaque jour publiera ta justice, Car ceux qui cherchent ma perte sont honteux et confus.
1 Puisque nous travaillons avec Dieu, nous vous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. 2 Car il dit : Au temps favorable je t’ai exaucé, Au jour du salut je t’ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. 3 Nous ne voulons scandaliser personne en quoi que ce soit, afin que le ministère ne soit pas un objet de blâme. 4 Mais nous nous rendons recommandables à tous égards, comme serviteurs de Dieu, par beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses, 5 sous les coups, dans les prisons, dans les séditions, dans les travaux, dans les veilles, dans les jeûnes ; 6 par la pureté, par la connaissance, par la longanimité, par la bonté, par l’Esprit saint, par un amour sincère, 7 par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice ; 8 au milieu de la gloire et de l’ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation ; étant regardés comme imposteurs, quoique véridiques ; 9 comme inconnus, quoique bien connus ; comme mourants, et voici nous vivons ; comme châtiés, quoique non mis à mort ; 10 comme attristés, et nous sommes toujours joyeux ; comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs ; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses.

Appel à la sainteté

11 Notre bouche s’est ouverte pour vous, Corinthiens, notre cœur s’est élargi ; 12 vous n’y êtes point à l’étroit, mais c’est votre cœur qui s’est rétréci pour nous. 13 Rendez-nous la pareille – je vous parle comme à mes enfants – élargissez aussi votre cœur ! 14 Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? 15 Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? 16 Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. 17 C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur ; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai. 18 Je serai pour vous un Père, Et vous serez pour moi des fils et des filles,
1 Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.

Des nouvelles encourageantes

2 Donnez-nous une place dans vos cœurs ! Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons tiré du profit de personne. 3 Ce n’est pas pour vous condamner que je parle de la sorte ; car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à la vie et à la mort. 4 J’ai une grande confiance en vous, j’ai tout sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos afflictions. 5 Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au-dehors, craintes au-dedans. 6 Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite, 7 et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d’autant plus grande. 8 Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si je m’en suis repenti – car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément – 9 je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage. 10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. 11 Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. 12 Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue ; c’était afin que votre empressement pour nous soit manifesté parmi vous devant Dieu. 13 C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l’esprit a été tranquillisé par vous tous. 14 Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé être aussi la vérité. 15 Il éprouve pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l’accueil que vous lui avez réservé avec crainte et tremblement. 16 Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous.

Les trésors de la foi

« Certainement c’est Dieu qui donne le repos à celui qu’il aime. »

Méditation quotidienne

Notre vie ne doit pas être une vie de soucis ni d’inquiétudes, mais une vie de foi joyeuse et tranquille. Notre Père Céleste pourvoit aux besoins de ses enfants et sait ce dont nous avons besoin avant que nous ne lui demandions. Nous pouvons donc aller paisiblement à notre repos à l’heure convenable, sans nous croire obligés de veiller pour combiner et dresser nos plans d’avenir et de nous tourmenter à ce sujet. Si nous avons appris à nous reposer sur Dieu, nous ne serons pas tenus en éveil par les craintes et les sombres pressentiments, mais nous abandonnerons tout souci au Seigneur, et ne songerons qu’à lui et à sa grâce, et il nous donnera un sommeil doux et réparateur. Être les bien-aimés de Dieu, voilà le plus grand des honneurs, car notre ambition ne peut rien souhaiter de plus, aussi tout désir intéressé devrait-il céder à côté de celui-là.

Qu’y a-t-il dans le ciel de plus grand que l’amour de Dieu ? Sois donc en repos, mon âme, car en lui tu es toutes choses. Et cependant, malgré tout, nous restons agités, si le Seigneur ne nous donne, non pas seulement des raisons d’être en repos, mais le repos lui-même. Eh bien, en Jésus il le fait ; Jésus lui-même est notre paix, notre repos, notre tout, et sur son sein nous reposons en parfaite sécurité, soit dans la vie, soit dans la mort.

Charles Spurgeon

Tout pour qu’Il règne !

Comment suivre Jésus ?

Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas… Il ne peut être mon disciple.

Rien de ce que nous avons de plus précieux, ne doit nous empêcher de suivre Jésus-Christ. Être disciple de Jésus, c’est être attaché à Lui seul. Il y a une grande différence entre l’attachement à une personne et l’attachement à des principes, ou à une cause. Notre Seigneur ne s’est pas fait le champion d’une cause ; il a appelé les hommes à s’attacher à Lui. Être son disciple, c’est être esclave par amour. Beaucoup parmi nous se disent chrétiens, et ne sont pas attachés à Jésus-Christ comme des esclaves. Aucun être humain ne peut avoir pour Jésus-Christ cet amour passionné s’il ne lui a pas été donné par le Saint-Esprit. On peut admirer Jésus, on peut le respecter, le vénérer, et pourtant ne pas l’aimer. Seul le Saint-Esprit aime le Seigneur Jésus et peut répandre dans nos cœurs l’amour de Dieu. Lorsque l’Esprit Saint voit une occasion de glorifier Jésus, il s’empare de notre cœur, de nos nerfs, de toute notre personne, et nous enflamme d’amour pour Jésus-Christ.

La vie chrétienne a un caractère d’originalité spontanée. Pourtant comme Jésus son Maître, on accusera le disciple de ne pas être en harmonie avec la société et d’être inadapté. Mais Jésus fut toujours en parfait accord avec son Père, et le chrétien doit de même être en accord avec Lui. Avec Lui-même et non pas avec telle ou telle doctrine desséchée et sans vie. Les hommes se complaisent dans des doctrines mais Dieu doit faire sauter leurs préjugés à la dynamite, pour qu’ils puissent s’attacher vraiment à Jésus-Christ.

Oswald Chambers