le prix des expiations ou de la rédemption, car les Grecs appliquaient le terme « katharmata » aux victimes sacrifiées pour l’expiation du peuple, et même aux criminels entretenus par les fonds publics, et qui pouvaient être offerts en sacrifice pour faire une expiation pour l’état, au commencement d’une peste ou autre calamité.
« perikatharma » est traduit dans la Louis Segond par
Concordance de « perikatharma » dans 1 Corinthiens
1 Corinthiens 4.13 calomniés , nous parlons avec bonté ; nous sommes devenuscomme les balayures (perikatharma) du monde, le rebut de tous, jusqu’àmaintenant.