Luc 18.13 comparé dans 29 versions de la Bible différentes.
Traduction | Référence | Texte |
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Nouveau testament - Bible de Genève - 1669 - BDG | Luc 18.13 | Mais le Peager se tenant loin, n’osoit pas mesme lever les yeux vers le ciel: mais frapoit sa poitrine, disant, O Dieu! sois appaisé envers moi qui suis pecheur. |
Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC | Luc 18.13 | Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : Mon Dieu ! ayez pitié de moi qui suis un pécheur. |
David Martin - 1744 - MAR | Luc 18.13 | Mais le péager se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! |
Ostervald - 1811 - OST | Luc 18.13 | Mais le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! |
Ancien Testament Samuel Cahen - 1831 - CAH | Luc 18.13 | Ce verset n’existe pas dans cette traduction ! |
Les Évangiles de Félicité Robert de Lamennais - 1846 - LAM | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant loin, n’osoit pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappoit sa poitrine, disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur. |
Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGR | Luc 18.13 | Mais le publicain se tenant à distance ne se permettait pas même de lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « O Dieu, aie compassion de moi qui suis pécheur ! » |
Bible de Lausanne - 1872 - LAU | Luc 18.13 | Et le péager, se tenant éloigné, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! |
Nouveau Testament Oltramare - 1874 - OLT | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant à distance, ne se permettait pas même de lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: «Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.» |
John Nelson Darby - 1885 - DBY | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! |
Nouveau Testament Stapfer - 1889 - STA | Luc 18.13 | Quant au publicain, il se tenait à distance, il n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur ! » |
Bible Annotée - 1899 - BAN | Luc 18.13 | Mais le péager, se tenant à distance, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Dieu ! Sois apaisé envers moi, qui suis pécheur ! |
Glaire et Vigouroux - 1902 - VIG | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.[18.13 Le publicain se tenant éloigné. Ni le pharisien ni le publicain n’étaient dans le temple proprement dit, puisqu’on n’y entrait pas, mais dans une cour du temple. Le pharisien se mettait en vue ; le publicain au contraire.] |
Bible Louis Claude Fillion - 1904 - FIL | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au Ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. |
Louis Segond - 1910 - LSG | Luc 18.13 | Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. |
Nouveau Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYN | Luc 18.13 | Le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur! |
Bible Auguste Crampon - 1923 - CRA | Luc 18.13 | Le publicain, se tenant à distance, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine en disant : Ô Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur ! |
Bible Pirot-Clamer - 1949 - BPC | Luc 18.13 | Quant au publicain, restant à distance, il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : Aie pitié du pécheur que je suis. |
Nouveau Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRI | Luc 18.13 | Le publicain, se tenant au loin, ne voulait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, prends en pitié le pécheur que je suis ! |
Bible André Chouraqui - 1985 - CHU | Luc 18.13 | Le gabelou se tient à distance et ne veut même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappe la poitrine et dit : ‹ Elohîms, secours-moi, moi le fauteur ! › |
Les Évangiles de Sœur Jeanne d’Arc - 1990 - JDC | Luc 18.13 | Le taxateur se tient à distance : il ne veut même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappe la poitrine et dit : "Ô Dieu, soit propice pour moi, le pécheur !" |
Les Évangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TRE | Luc 18.13 | quant au percepteur des impôts il se tenait debout au loin et il ne voulait même pas lever les yeux vers les cieux mais il se frappait la poitrine et il disait dieu pardonne-moi moi [qui suis] l’homme en faute |
Segond Nouvelle Édition de Genève - 1979 - NEG | Luc 18.13 | Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. |
Bible des Peuples - 1998 - BDP | Luc 18.13 | “Le publicain, lui, se tenait à distance: il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: Ô Dieu, aie pitié du pécheur que je suis! |
Ancien testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAK | Luc 18.13 | Ce verset n’existe pas dans cette traduction ! |
Segond 21 - 2007 - S21 | Luc 18.13 | Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : ‹ Ô Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur. › |
King James en Français - 2016 - KJF | Luc 18.13 | Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever ses yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, disant: Dieu, sois miséricordieux envers moi qui suis pécheur. |
La Septante - 270 avant Jésus-Christ - LXX | Luc 18.13 | Ce verset n’existe pas dans cette traduction ! |
La Vulgate - 1454 - VUL | Luc 18.13 | et publicanus a longe stans nolebat nec oculos ad caelum levare sed percutiebat pectus suum dicens Deus propitius esto mihi peccatori |
Ancien testament hébreu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHS | Luc 18.13 | Ce verset n’existe pas dans cette traduction ! |
Nouveau testament grec - 2010 - SBLGNT | Luc 18.13 | ⸂ὁ δὲ⸃ τελώνης μακρόθεν ἑστὼς οὐκ ἤθελεν οὐδὲ τοὺς ὀφθαλμοὺς ⸂ἐπᾶραι εἰς τὸν οὐρανόν⸃, ἀλλ’ ⸀ἔτυπτε τὸ στῆθος ⸀αὐτοῦ λέγων· Ὁ θεός, ἱλάσθητί μοι τῷ ἁμαρτωλῷ. |