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kohen
Lexique biblique hébreu

Strong numéro : 3548 Parcourir le lexique
Mot hébreu original Origine du mot
כּוֹהֵן

Vient de kahan 03547

Mot hébreu (translittéré) Type de mot

kohen (ko-hane’)

Nom masculin

Définition de « kohen » en hébreu
  1. sacrificateur, intendant principal, ministre d’état
    1. sacrificateur pour toujours, sacrificateur du Dieu très haut (Melchisédek, le Messie)
    2. prêtres païens
    3. prêtres de l’Éternel
    4. prêtres Lévitiques
    5. prêtres de Tsadok
    6. sacrificateurs d’Aaron
    7. le souverain sacrificateur
« kohen » est traduit dans la Louis Segond par 

sacrificateur, prêtre, sacerdoce, sacerdotale, ministre d’état ; 750

Concordance biblique du mot hébreu « kohen »

Genèse (6) Exode (11) Lévitique (153) Nombres (63) Deutéronome (13) Josué (34) Juges (13) 1 Samuel (26) 2 Samuel (8) 1 Rois (28) 2 Rois (35) 1 Chroniques (16) 2 Chroniques (72) Esdras (25) Néhémie (42) Job (1) Psaumes (5) Esaïe (6) Jérémie (38) Lamentations (6) Ezéchiel (23) Osée (4) Joël (3) Amos (1) Michée (1) Sophonie (2) Aggée (8) Zacharie (6) Malachie (3)

Concordance de « kohen » dans Genèse

Genèse 14.18
Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin : il était sacrificateur (kohen) du Dieu Très-Haut.

Genèse 41.45
Pharaon appela Joseph du nom de Tsaphnath-Paenéach ; et il lui donna pour femme Asnath, fille de Poti-Phéra, prêtre (kohen) d’On. Et Joseph partit pour visiter le pays d’Égypte.

Genèse 41.50
Avant les années de famine, il naquit à Joseph deux fils, que lui enfanta Asnath, fille de Poti-Phéra, prêtre (kohen) d’On.

Genèse 46.20
Il naquit à Joseph, au pays d’Égypte, Manassé et Ephraïm, que lui enfanta Asnath, fille de Poti-Phéra, prêtre (kohen) d’On.

Genèse 47.22
Seulement, il n’acheta point les terres des prêtres (kohen), parce qu’il y avait une loi de Pharaon en faveur des prêtres (kohen), qui vivaient du revenu que leur assurait Pharaon : c’est pourquoi ils ne vendirent point leurs terres.

Genèse 47.26
Joseph fit de cela une loi, qui a subsisté jusqu’à ce jour, et d’après laquelle un cinquième du revenu des terres de l’Égypte appartient à Pharaon ; il n’y a que les terres des prêtres (kohen) qui ne soient point à Pharaon.