Le livre des Psaumes est certainement la partie la plus connue de l’Ancien Testament. Il s’agit d’une collection de cent cinquante poèmes ou cantiques, de différents auteurs, répartis en cinq livres comme le Pentateuque (les cinq livres de Moïse).
Septante-trois psaumes, des premier, deuxième et cinquième livres principalement, sont dus à David. Douze autres portent le nom d’Asaph, le chef des chantres du temple sous David (1 Chron. 16.7 ; 2 Chron. 29.30). Il s’agit des psaumes 50 et 73 à 83. Dix ont été composés par les fils de Coré (Ps. 42 ; 44 à 49 ; 84 ; 85 ; 87), un par Salomon (Ps. 127). Moïse (Ps. 90), Ethan (Ps. 89) et Héman (Psaume 88) en ont écrit chacun un. Les cinquante et un psaumes restants ne portent pas de nom d’auteur.
Dans le Nouveau Testament, les Psaumes 2 (Actes 4.25) et 95 (Hébreux 4.7) sont également attribués à David. Si on les ajoute à ceux qui portent le nom de David, on obtient le nombre 75; cela signifie que David a composé lui-même exactement la moitié des psaumes.
David était particulièrement qualifié pour cette tâche. Poète, joueur de harpe et chantre doué (1 Samuel 16.18 ; 2 Sam. 23.1), il était aussi rempli de l’Esprit de Dieu (1 Sam. 16.13 ; 2 Sam. 23.2) et avait fait de nombreuses expériences avec Dieu dans sa vie de foi. Plusieurs passages des Saintes Ecritures témoignent de la grande activité de David dans le domaine de la poésie et de la musique spirituelles (par exemple : 1 Sam. 18.10 ; 2 Sam. 1.17, 18 ; 6.5 ; 1 Chroniques 6.31 ; 16.7 ; 25.1 ; 2 Chroniques 7.6 ; 29.30 ; Esdras 3.10 ; Néh. 12.24, 36, 45 ; Amos 6.5).
David indique parfois le motif ou l’occasion de la composition d’un psaume dans le titre : Psaumes 3 ; 7 ; 18 ; 34 ; 51 ; 52 ; 54 ; 56 ; 57 ; 59 ; 60 ; 63 ; 142. Une de ces occasions est décrite en 2 Samuel 22. Ce passage offre un parallèle presque littéral avec le psaume 18.
« Prière de Moïse, homme de Dieu », le psaume 90 est certainement le plus ancien. Moïse vécut au 15e siècle av. J.C. Mais la plupart des psaumes datent du temps de David, qui introduisit le chant dans le temple (1 Chron. 25). A l’époque d’Ézéchias (2 Chron. 29.25-30), il est fait allusion à cette institution, ainsi qu’aux psaumes de David et d’Asaph. Ceux-ci étaient donc déjà rassemblés en une sorte de recueil. Puis les derniers psaumes furent composés aux jours d’Esdras (5e siècle av. J.C.). Le psaume 137 parle clairement de la captivité babylonienne. Selon de nombreux chercheurs, ce fut le sacrificateur et scribe Esdras lui-même qui, sous la direction du Saint Esprit, établit la collection définitive des psaumes (comp. Esdras 3.10).
Les Psaumes constituent le premier et principal livre de la troisième section de la Bible hébraïque, les « Ecritures » (en hébreu : ketubim). En Luc 24.44, l’expression « les psaumes » désigne toute la troisième partie de l’Ancien Testament. Le titre hébreu, tehillim (de l’hébreu hillil « louer » ; comp. Alléluia), signifie « louanges ». Le nom « psaume » employé pour un cantique isolé vient du grec ; il a le sens de « chant avec accompagnement » ou « jeu de lyre ».
Les Psaumes exercent un attrait particulier sur le lecteur de la Bible. En effet, nous y trouvons présentés, plus qu’ailleurs, les sentiments d’hommes pieux. Ceux-ci s’expriment aussi bien dans la prière, que dans la confession, la louange ou la souffrance. Connaissant nous-mêmes plusieurs de ces situations, nous nous sentons particulièrement interpellés par les psaumes.
Mais la valeur des psaumes ne se limite pas à cela. Les psalmistes ne décrivaient pas seulement leurs sentiments personnels. En eux agissait l’Esprit de Christ, qui prenait part à leurs afflictions et à leurs joies, et s’identifiait à eux dans leurs circonstances (comp. Ésaïe 63.9 ; 1 Pierre 1.11). Cela nous explique pourquoi nous trouvons Christ partout dans ce livre, et non pas seulement dans les psaumes dits « messianiques » (par exemple, les psaumes 16 ; 22 ; 24 ; 40 ; 68 ; 69 et 118). Il est vrai que, dans ces derniers, Christ apparaît d’une manière toute spéciale, mais, dans le Nouveau Testament, plusieurs psaumes sont appliqués à Christ bien qu’ils ne soient pas signalés comme étant messianiques. Citons en particulier :
Psaume 2.7 : | « Tu es mon Fils ; aujourd’hui, je t’ai engendré » (Actes 13.33). |
Psaume 8.6 : | « Tu as mis toutes choses sous ses pieds » (Héb. 2.6-10). |
Psaume 41.9 : | « Mon intime ami aussi qui mangeait mon pain, a levé le talon contre moi » (Jean 13.18). |
Psaume 45.6 : | « Ton trône, ô Dieu, est pour toujours et à perpétuité » (Héb. 1.8). |
Psaume 110.1 : | « L’Éternel a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite» (Matt. 22.44). |
Nous pourrions ajouter de nombreux autres passages à ce tableau. De toutes les citations messianiques dans le Nouveau Testament, presque la moitié est tirée des Psaumes.
En considérant la relation spirituelle de Christ avec les Israélites pieux qui écrivirent les psaumes, on voit se dégager le vrai sens du livre, qui est prophétique. L’Esprit de Christ s’identifie avec les expériences et les sentiments de ces Juifs pieux. C’est pourquoi les souffrances du Seigneur et ses sentiments comme Homme vrai et parfait y sont décrits d’une manière aussi saisissante: ils démontrent l’intérêt manifesté par le Seigneur pour son peuple terrestre.
Le caractère prophétique des psaumes apparaît aussi dans la description de l’histoire du résidu juif de la fin: là de nouveau, les sentiments intimes sont mis en évidence plutôt que les événements extérieurs. Dès lors, on saisit mieux le pourquoi des demandes de châtiment ou de vengeance sur les ennemis (par exemple, Ps. 137.9), que plusieurs lecteurs ont de la peine à comprendre. Les sentiments exprimés dans ces psaumes sont bien ceux de croyants, mais non pas de chrétiens vivant pendant la période de la grâce (comp. Rom. 12.17-21) ; ce sont les sentiments vus prophétiquement de Juifs croyants du temps futur de la fin, qui attendront la délivrance de Dieu et le juste châtiment de leurs oppresseurs, de l’Antichrist spécialement.
Une division très claire du livre des Psaumes se dégage du point de vue prophétique. Tous les autres découpages sont plus ou moins insatisfaisants. La ressemblance entre la structure du livre des Psaumes et celle du Pentateuque est également frappante; on peut constater certains parallèles. Dans chacun des livres, le premier psaume contient en quelque sorte le «titre», et le dernier termine par la louange.
Le premier livre des Psaumes présente le principe de la séparation des justes d’avec les injustes au milieu du peuple de Dieu. En relation avec ce qui précède, le Messie est vu comme Fils de Dieu (Ps. 2), Fils de l’homme (Ps. 8), Serviteur souffrant (Ps. 22) et vraie Offrande (Ps. 40). Le nom de Dieu qui apparaît le plus souvent dans ce livre est son nom d’alliance, l’Éternel (il revient environ 275 fois).
Dans le deuxième livre, nous trouvons les souffrances des justes ; privés de toute bénédiction, ils vivent dans de grandes tribulations et invoquent Dieu du sein de leur détresse (Elohim revient environ 200 fois).
Le troisième livre décrit le retour d’Israël comme peuple, et la bonté de Dieu envers ce peuple qui est le sien.
Le quatrième livre commence par le règne de l’Éternel (environ 100 mentions) après l’introduction du Premier-né dans le monde. Cette venue de Christ marque le début de la domination du Fils de l’homme glorifié dans le Millénium, après la délivrance de tout Israël.
Le cinquième livre contient le résumé de toutes les voies de l’Éternel envers son peuple Israël, ainsi que la louange qui lui est due en raison de sa bonté (Ps. 111 à 113 ; 146 à 150).
Dans la poésie européenne classique, des notions telles que les rimes, le rythme et les pieds jouent un rôle important. La même remarque est valable, partiellement, pour la division en strophes. La poésie hébraïque est très différente. Les rimes et les pieds sont totalement inconnus. Il n’existe pas de répartition en strophes selon le mode actuel. Pourtant, on trouve une certaine division dans le psaume 119, dont les vingt-deux paragraphes, comptant chacun huit versets, commencent toujours par la même lettre de l’alphabet hébraïque ; en d’autres termes, les versets 1 à 8 commencent par la lettre aleph, les versets 9 à 16, par beth, etc.
Avec cela, nous venons de mentionner un des effets de style de la poésie hébraïque : l’allitération, avec le retour d’un même son, non pas à la fin, mais au commencement des mots. Une variante de cette méthode (présente dans les psaumes 9 et 10 ; 25; 34 ; 37 ; 111 ; 112 ; 145, de même qu’en Proverbes 31.10-31 et dans les chapitres 1 à 4 des Lamentations de Jérémie), consiste à faire commencer les vers par les lettres de l’alphabet hébraïque prises l’une après l’autre (comp. aussi Ps. 119). Un autre élément de l’art poétique hébraïque réside dans les comparaisons souvent très imagées (voir Ps. 1 ; 3 ; 22.12-16).
Néanmoins, le caractère le plus important demeure le parallélisme. Il exprime l’accentuation ou l’amplification d’un énoncé par la répétition. On distingue trois sortes de parallélisme :
Tous les psaumes, à quelques exceptions près, portent un titre. Les trente-quatre qui n’en ont pas sont les suivants : 1 ; 2 ; 10 ; 33 ; 43 ; 71 ; 91 ; 93 à 97 ; 99 ; 104 à 107 ; 111 à 119 ; 135 à 137 ; 146 à 150 (placés en tête de certains psaumes, les mots « Louez Jah » ne sont en fait pas un titre, mais ils appartiennent au texte).
Les principaux titres sont :
Les autres expressions ne demandent pas d’éclaircissement particulier ou sont expliquées dans les différentes versions de la Bible.
I. Livre premier (Ps. 1 à 41) : Séparation des justes d’avec les injustes | |
Psaume 1 | Le juste et l’impie |
Psaume 2 | Le Roi de Dieu : le Messie |
Psaume 3 | Confiance de David dans le Dieu qui ne change pas |
Psaume 4 | Confiance de David dans les soins particuliers de Dieu |
Psaume 5 | L’Éternel entend le cri des siens |
Psaume 6 | Appel à la miséricorde |
Psaume 7 | Prière pour demander le juste châtiment de l’oppresseur |
Psaume 8 | La domination du Fils de l’homme |
Psaume 9 | Louange à Dieu pour la victoire sur les ennemis |
Psaume 10 | Appel pour être délivré de l’inique |
Psaume 11 | Le juste au milieu de l’iniquité |
Psaume 12 et 13 | La confiance du juste en Dieu et dans sa Parole |
Psaume 14 | La corruption générale de l’humanité |
Psaume 15 | Les caractéristiques de l’homme pieux véritable |
Psaume 16 | Christ comme l’homme parfait |
Psaume 17 | La prière du juste demandant à être protégé |
Psaume 18 | La louange de Dieu |
Psaume 19 | Le témoignage de Dieu dans la création |
Psaume 20 | Le secours venant du sanctuaire |
Psaume 21 | Le chant de victoire royal |
Psaume 22 | Les souffrances et la gloire de Christ |
Psaume 23 | Christ, le bon Berger |
Psaume 24 | Christ, le Roi de gloire |
Psaume 25 | Appel pour demander la délivrance et le pardon |
Psaume 26 | Prière d’un juste |
Psaume 27 | Désir de la présence de Dieu |
Psaume 28 | Cri du sein de la détresse |
Psaume 29 | La puissance de Dieu est au-dessus de tout |
Psaume 30 | Louange pour le secours de Dieu |
Psaume 31 | Délivrance de l’ennemi |
Psaume 32 | La bénédiction du pardon |
Psaume 33 | Louange due au Créateur |
Psaume 34 | Expérience de ceux qui aiment Dieu |
Psaume 35 | Cri de détresse de l’opprimé |
Psaume 36 | Les pensées de l’impie et la bonté de Dieu |
Psaume 37 | Confiance en Dieu dans un monde mauvais |
Psaume 38 | Les souffrances des croyants à cause de leurs péchés |
Psaume 39 | Le néant de toute chair |
Psaume 40 | Christ, le serviteur obéissant |
Psaume 41 | Confiance, trahison et triomphe |
II. Livre deuxième (Ps. 42 à 72) : Les souffrances des justes | |
Psaume 42 | La soif de Dieu éprouvée par l’homme pieux |
Psaume 43 | Suite du psaume 42 |
Psaume 44 | Le peuple de Dieu crie dans la détresse à Dieu |
Psaume 45 | Christ, le Roi et l’Epoux |
Psaume 46 | Dieu est le refuge et la force |
Psaume 47 | La domination de Dieu comme Roi |
Psaume 48 | La ville de Dieu |
Psaume 49 | Vanité des richesses terrestres |
Psaume 50 | Juste jugement de Dieu |
Psaume 51 | Confession des péchés et repentance |
Psaume 52 | La condamnation de l’impie |
Psaume 53 | La chute des impies |
Psaume 54 | L’homme pieux demande la délivrance |
Psaume 55 | Protection dans l’oppression |
Psaume 56 | Confiance dans la fidélité de Dieu |
Psaume 57 | Confiance dans la délivrance de Dieu |
Psaume 58 | Dieu se manifeste dans le jugement |
Psaume 59 | Du secours pour les désespérés |
Psaume 60 | Lamentations au sein d’une grande tribulation |
Psaume 61 | Dieu est le vrai refuge |
Psaume 62 | Dieu seul sauve |
Psaume 63 | Soif après Dieu |
Psaume 64 | Le sort des ennemis |
Psaume 65 | La riche bénédiction de Dieu |
Psaume 66 | Reconnaissance de la juste intervention de Dieu |
Psaume 67 | Perspective de bénédiction |
Psaume 68 | L’achèvement de la délivrance |
Psaume 69 | La plainte du Messie rejeté |
Psaume 70 | Appel pour la délivrance |
Psaume 71 | La renaissance du peuple de Dieu |
Psaume 72 | Annonce du règne de paix |
III. Livre troisième (Ps. 73 à 89) : Repentance du peuple et bonté de Dieu | |
Psaume 73 | Une énigme et sa solution |
Psaume 74 | La destruction du sanctuaire |
Psaume 75 | L’intervention de Dieu en jugement |
Psaume 76 | La puissance victorieuse de Dieu |
Psaume 77 | Rétrospective avec foi |
Psaume 78 | Voies de Dieu dans l’histoire d’Israël |
Psaume 79 | Prière lors de la dévastation de Jérusalem |
Psaume 80 | Prière du peuple dans sa détresse |
Psaume 81 | Le peuple prend espoir |
Psaume 82 | Dieu juge les juges |
Psaume 83 | Prière lors de l’attaque de l’ennemi |
Psaume 84 | La joie dans le sanctuaire de l’Éternel |
Psaume 85 | Le peuple de Dieu jouit de la bénédiction promise |
Psaume ,86 | L’âme pieuse prie humblement (seul psaume de David dans le troisième livre) |
Psaume 87 | Sion, la ville de Dieu |
Psaume 88 | Une prière du sein de la détresse la plus profonde |
Psaume 89 | L’alliance de Dieu et sa fidélité |
IV. Livre quatrième (Ps. 90 à 106) : Le règne de l’Éternel pendant le Millénium | |
Psaume 90 | Le Dieu éternel et les hommes mortels (de Moïse, sans doute le plus ancien psaume) |
Psaume 91 | Confiance exemplaire de l’homme en Dieu |
Psaume 92 | Louange dans le sanctuaire |
Psaume 93 | L’Éternel règne en majesté |
Psaume 94 | Appel à la justice et à la vengeance |
Psaume 95 | Invitation à louer l’Éternel en tant que créateur et rédempteur de son peuple |
Psaume 96 | Invitation à louer l’Éternel en tant que créateur et juge de la terre |
Psaume 97 | L’apparition de l’Éternel comme roi |
Psaume 98 | Invitation à louer l’Éternel, le roi |
Psaume 99 | Règne de l’Éternel |
Psaume 100 | Invitation universelle à adorer l’Éternel |
Psaume 101 | Les principes du gouvernement de l’Éternel |
Psaume 102 | Dieu manifesté en chair |
Psaume 103 | Louange d’Israël à l’égard des voies de Dieu |
Psaume 104 | Louange du Dieu Créateur |
Psaume 105 | Rétrospective historique : La fidélité de Dieu envers Israël |
Psaume 106 | Rétrospective historique : L’infidélité d’Israël à l’égard de Dieu |
V. Livre cinquième (Ps. 107 à 150) : Résumé des voies de l’Éternel envers son peuple | |
Psaume 107 | L’Éternel délivre de toutes les difficultés |
Psaume 108 | La délivrance à venir |
Psaume 109 | Le Christ persécuté |
Psaume 110 | Christ comme Sacrificateur et Roi |
Psaume 111 | Célébration des œuvres merveilleuses de l’Éternel |
Psaume 112 | La bénédiction de l’Éternel pour les hommes pieux |
Psaume 113 | Célébration du nom de l’Éternel |
Psaume 114 | La puissance du Dieu de Jacob |
Psaume 115 | A Dieu seul revient l’honneur |
Psaume 116 | Louange de Dieu pour son secours dans la détresse |
Psaume 117 | La louange des nations (le psaume le plus court) |
Psaume 118 | Israël reconnaît la véritable tête de l’angle (le psaume le plus souvent cité dans le Nouveau Testament) |
Psaume 119 | Célébration de la parole de Dieu (le psaume le plus long) |
Psaume 120 | La solitude de l’homme pieux |
Psaume 121 | Dieu en tant que protecteur d’Israël |
Psaume 122 | La maison et la ville de Dieu |
Psaume 123 | La ressource d’Israël dans la tribulation |
Psaume 124 | Délivrance dans la détresse |
Psaume 125 | Sécurité parfaite |
Psaume 126 | Semailles dans les larmes et moisson avec joie |
Psaume 127 | Bénédiction sur la maison |
Psaume 128 | Bénédiction sur la famille |
Psaume 129 | La main puissante de Dieu |
Psaume 130 | Repentance et pardon |
Psaume 131 | Repos et satisfaction |
Psaume 132 | La demeure de l’Éternel en Sion |
Psaume 133 | La bénédiction de la communion fraternelle |
Psaume 134 | Adoration dans le sanctuaire |
Psaume 135 | Reconnaissance et adoration du vrai Dieu |
Psaume 136 | Célébration de la bonté éternelle de Dieu |
Psaume 137 | Souvenir de l’exil |
Psaume 138 | Louange à Dieu pour sa délivrance |
Psaume 139 | La présence scrutatrice de Dieu |
Psaume 140 | L’Éternel, la ressource des justes |
Psaume 141 | Prière du juste au milieu des impies |
Psaume 142 | L’Éternel, le refuge des solitaires |
Psaume 143 | Prière du sein d’une profonde détresse |
Psaume 144 | La véritable source d’énergie |
Psaume 145 | Louange à Dieu pendant le Millénium |
Psaume 146 | Louange personnelle des justes |
Psaume 147 | Louange du peuple de Dieu |
Psaume 148 | Louange de toute la création |
Psaume 149 | Louange par un cantique nouveau |
Psaume 150 | Fin : résumé de la louange de Dieu. |
Tiré de « Vue d’ensemble de l’Ancien Testament »,
Arend Remmers, EBLC Chailly-Montreux Suisse.
Cette Bible est dans le domaine public.