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Sorte de buisson ou d’épine, nommé nerprun, ou narprun, ou bouc-épine. Le nom de rhamnus se trouve en trois endroits de la Vulgate (Juges 9.14). : Miserunt omnia ligna ad rhamnu Et (Juges 9.15) : Egrediatur ignis de rhamno. Et enfin (Psaumes 57) : Priusquam intelligerent spince vestrce rhamnu. L’Hébreu, dans tous les trois endroits, porte athad, qui signifie proprement un chardon ou une épine. L’Écriture en parle comme d’une chose très-aisée à enflammer, et qui conçoit une flamme très-vive. Par exemple, dans le passage du psaume que nous avons cité : : Avant qu’ils puissent connaître que leurs épines sont parvenues à la force d’un arbrisseau, il les engloutira comme tout vivants dans sa colère. Mais l’Hébreu porte : Avant que vos chaudières aient senti la chaleur de vos épines allumées, la colère de Dieu, comme un tourbillon, les renversera.
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