Les exemplaires latins de saint Jean (Jean 5.2) lisent Bethzaida, au lieu de Béthesda, en parlant de la piscine probatique de Jérusalem. Mais la vraie leçon est Béthesda, comme nous l’avons remarqué sous ce mot. Il y en a qui croient que c’est dans cette piscine que Jérémie et les prêtres avaient caché le feu sacré, en la place duquel ou trouva du temps de Néhémie, au lieu du feu, de l’eau boueuse (2 Machabées 1.20-22) qui, ayant été versée sur l’autel des holocaustes prit feu dès que le soleil commença à briller. Mais cette opinion n’a aucun fondement solide (Il ne faut pas confondre ce lieu avec la ville de Bethsaïde que D. Calmet écrit Beth Zaïde).