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Luc 18.13

Luc 18.13 comparé dans 29 versions de la Bible.

Les « Louis Segond »

Luc 18.13 (LSG)Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (NEG)Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (S21)Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : ‹ Ô Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur. ›
Luc 18.13 (LSGSN) Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.

Les Bibles d'étude

Luc 18.13 (BAN)Mais le péager, se tenant à distance, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Dieu ! Sois apaisé envers moi, qui suis pécheur !

Les « autres versions »

Luc 18.13 (SAC)Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : Mon Dieu ! ayez pitié de moi qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (MAR)Mais le péager se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur !
Luc 18.13 (OST)Mais le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur !
Luc 18.13 (LAM)Et le publicain, se tenant loin, n’osoit pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappoit sa poitrine, disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (GBT)Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis pécheur.
Luc 18.13 (PGR)Mais le publicain se tenant à distance ne se permettait pas même de lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « O Dieu, aie compassion de moi qui suis pécheur ! »
Luc 18.13 (LAU)Et le péager, se tenant éloigné, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !
Luc 18.13 (OLT)Et le publicain, se tenant à distance, ne se permettait pas même de lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: «Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.»
Luc 18.13 (DBY)Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !
Luc 18.13 (STA)Quant au publicain, il se tenait à distance, il n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur ! »
Luc 18.13 (VIG)Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (FIL)Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au Ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.
Luc 18.13 (SYN)Le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur !
Luc 18.13 (CRA)Le publicain, se tenant à distance, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine en disant : Ô Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur !
Luc 18.13 (BPC)Quant au publicain, restant à distance, il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : Aie pitié du pécheur que je suis.
Luc 18.13 (AMI)Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.

Langues étrangères

Luc 18.13 (VUL)et publicanus a longe stans nolebat nec oculos ad caelum levare sed percutiebat pectus suum dicens Deus propitius esto mihi peccatori
Luc 18.13 (SWA)Lakini yule mtoza ushuru alisimama mbali, wala hakuthubutu hata kuinua macho yake mbinguni, bali alijipiga-piga kifua akisema, Ee Mungu, uniwie radhi mimi mwenye dhambi.
Luc 18.13 (SBLGNT)⸂ὁ δὲ⸃ τελώνης μακρόθεν ἑστὼς οὐκ ἤθελεν οὐδὲ τοὺς ὀφθαλμοὺς ⸂ἐπᾶραι εἰς τὸν οὐρανόν⸃, ἀλλ’ ⸀ἔτυπτε τὸ στῆθος ⸀αὐτοῦ λέγων· Ὁ θεός, ἱλάσθητί μοι τῷ ἁμαρτωλῷ.